Collection Folle Du Cul. Douceur Rudesse, Rudesse - Tendresse (2/3)
Il y a trois ans que jai épousé Marc, jeune homme de 25 ans, venant de finir ses études.
Il a trouvé un poste dinstituteur à Marseille dans les quartiers nord, notre maison est à Aubagne.
Cest là que je reçois la visite dun garçon plus vieux que mon mari.
Je découvre que l'on m'a caché, que le frère aîné sort de prison après un braquage à main armée à La Ciotat.
Nous lhébergeons.
Jai pu voir sa bite dans notre piscine, bien plus impressionnante que celle de Marc.
Au matin, il veut se frotter à moi, je lui balance ma tasse de café à la figure.
Sa réaction est violente, il me force à lui faire une fellation, avant de me retourner et mappuyant sur ma table de cuisine, me sexant violemment.
Je suis habituée au petit coup tranquille dans mon lit.
Là, cette verge qui sort de moi pour mieux entrer, me faisant hurler de plaisir, surtout quil me tient par les cheveux me les tirant en arrière.
- Tu vois sale pute, ça cest un sexe, ça cest un mec.
Mon frère était une tantouze, dans notre cité, je lai plusieurs fois vu se faire enculer par les mecs les plus balaises du quartier.
Je tai dit que je le défendais, oui quand certains étaient violents avec lui, quand il lenculait il y prenait du plaisir, je laissais faire.
Apprendre que mon mari est une fiote me fait redoubler mes coups de cul afin datteindre lorgasme au bout de cette bite que je sens au plus profond de moi.
Je suis sûr que mon utérus est défoncé.
La vie est conne, jaurais pu rencontrer Georges plutôt, mais quand lorgasme jamais atteint me submerge, je hurle tout ce que ma gorge peut expulser comme cris de jouissance.
- Cest bien, je vais pouvoir faire quelque chose de toi, tiens prend ça.
Il décharge dans ma chatte, me faisant sortir quelques grognements supplémentaires de plaisir.
- Je venais te dire, je te remercie de la chambre.
Je viens de recevoir un coup de fil du copain soccupant de ma maison, les locataires sont partis cette nuit.
Il a su leur foutre la trouille, je peux emménager.
Donne-moi ton numéro de portable, jai encore besoin de ton petit cul.
Tu es une maîtresse parfaite, si tu savais comment jai joui de cocufier mon pédéraste de frère.
Dommage que je sois pressé, tu viendras le plus rapidement possible quand je te sifflerais.
Une fois la porte de notre maison franchie, il pourra toujours courir pour que je le rejoigne.
Jai pris beaucoup de plaisir avec lui, mais cela sarrêtera là.
Le soir Marc de retour est étonné que son frère soit déjà parti.
Il va sans dire que je lui tais notre baise dans la cuisine et aussi que je sais quil se faisait défoncer la rosette.
Trois jours plus tard, mon portable sonne, cest lui.
Je suis fidèle à ma résolution, je raccroche.
Cinq fois, je refuse de décrocher.
Le lendemain, je suis au bord de la piscine dans ma tenue habituelle à cet endroit, une ombre me cache le soleil.
- Alors salope, je tavais dit que si je te sifflais, tu devais accourir.
Viens là, tu vas ramasser.
- Comment es-tu rentré, la porte est fermée et lalarme mise, jai vérifié après le départ de ton frère.
- Ma pauvre petite belle-sur, une porte et une alarme, en prison, on a du temps.
On a Internet sur nos tablettes, même si elles sont interdites.
Nous en possédons tous, cest fou ce que lon apprend sur les systèmes de sécurité, suce grognasse.
Je me retrouve une nouvelle fois avec sa verge dans la bouche.
Une nouvelle fois, je prends du plaisir à faire bander son sexe.
Une nouvelle fois, il me place en levrette sur mon transat.
À non, là, je sens sa verge sur mon anus.
- Mon frère, il se fait enculer, je suis sûr quil a oublié de te ramoner le conduit, dit moi que tu souhaites que je tencule.
Je demande toujours aux dames avant de les contraindre légèrement.
La première fois, ma-t-il demandé pour me baiser ?
Je men fiche, il a fait de moi une salope et une salope on la baise, alors je le laisse me baiser, pardon menculer.
Marc doit revenir dans moins dune demi-heure quand il me remplit la chatte une dernière fois, baise, piscine, baise, casse-croute, baise rudesse, repos douceur, baise.
- Fiche le camp, subordinateur, je te promets daccourir quand tu me sonneras, dis-moi, tu cherches du travail ?
- Je suis sûr un job, ça va marcher.
Il se rhabille, me quitte, cinq minutes après le gyrophare de louverture du portail démarre, Marc est de retour.
- Je viens de voir mon frère, il venait dici, est-il venu tembêter ?
- Ton frère, jai vu sur lécran que cétait lui, jai laissé la sécurité sur la porte du jardin.
- Il va falloir que jappelle le service dentretien du portail, jai appuyé sur la télécommande, le système refusait de démarrer.
Chérie, jai horreur de te trouver à poil près de notre piscine.
Une nouvelle fois, mon mari me montre le peu dintérêt quil a pour moi, ça aurait été le cul dun joli garçon, comment aurait-il réagi ?
Je préfère quil mait oublié, sil avait mis sa bite en moi, il aurait pataugé dans le sperme de son frère, mon amant.
Deux jours après message.
- Cinq minutes, voici ladresse.
En trois minutes, je démarre ma voiture, juste une robe dété, une paire de sandales, rien dessous, dès que je serais arrivée, il va tout menlever.
- Met cette perruque brune et cette grosse paire de lunettes de soleil, je tai dit que jétais sur un travail, il est prêt, mon chauffeur ma fait faux bond, tu vas conduire, fait exactement ce que je te dis.
Je me demande ce quil a inventé, je dois conduire jusquà Aix, il me dirige vers la rue piétonne.
- Stop moi au coin de ces rues en laissant le moteur tourner.
Dès que je reviens tu démarres, tu vas tout droit, tu prends la deuxième à gauche.
- Que vas-tu faire ?
Pourquoi mets-tu une cagoule ?
À quoi va te servir ce sac de sport ?
Pourquoi es-tu armé ?
Il descend, je le vois entrer dans la bijouterie qui fait le coin.
Jentends un coup de feu, je manque de démarrer pour me sauver.
Georges ressort en courant et remonte dans la voiture.
Ma chatte est en feu, jai le temps de me rendre compte que je participe à un braquage.
- Roule, roule, roule, à gauche, fonce, il va sarrêter.
Nous faisons de nombreux kilomètres toujours par des petites routes.
Il me fait respecter les limites de vitesse.
- À droite, dans ce chemin de terre, au bout, il y a une grange, la porte est ouverte, entre.
Il a enlevé sa cagoule, une fois entré, il saute à terre et ferme la porte.
Ma chatte, sa verge, mon cul, tous sont en surchauffe après les poussées dadrénaline de ce que nous venons de faire.
Un braquage, jai pratiqué un braquage avec main armée !
Combien, dix, vingt ans, je suis indestructible, nous sommes indestructibles.
Pourquoi parler dorgasme, je suis tout entière un orgasme ?
Je viens de plonger dans un océan dorgasme, quand je reprends contact avec la réalité, je suis dans les bras du braqueur allongé dans la paille.
Il me caresse le front dégage mes boucles dor.
- Toi, tu as du cran, jaurais besoin de toi dans trois jours.
- Fais-moi voir ce que tu as volé ?
- Regarde.
Il ouvre son sac de sport, trempe sa main à lintérieur.
- Tu as tué quelquun pour ces petits cailloux !
- Tes folle, juste tirer en lair pour faire peur.
Ils sont plus malléables après, le courtier qui venait présenter des pierres à ce joaillier, il sest dépêché de verser les tiroirs de sa mallette où ils étaient rangés dans mon sac.
Je savais que sa mallette était fixée à son poignet par une menotte.
- Il y en a pour combien ?
- Avant fourgue, un million deuros, après fourgue 250 000 et encore car cest un copain.
Cest toi qui iras les porter dans un bar marseillais demain.
Pour quitter la grange, je sors une autre voiture certainement volée comme la première et placée là par Georges préalablement.
Jattends mon amant, il a mis un jean et chemise avec botte de cow-boy.
Je le vois avec un bidon à la main, puis gratter une allumette et remonter en voiture.
De la fumée sort de la grange, nous sommes au bout du chemin quand une grosse explosion se produit.
- Ça cest le réservoir de la voiture, toutes les traces ADN et digitales viennent de disparaître.
Roule, il faut que tu sois entrée à lheure pour le retour de mon frère, cest ton alibi.
Tout en redescendant à Aubagne, je vois une effervescence de flic.
Ils doivent nous chercher, car toutes les voitures bleu marine, couleur de celle qui vient dexploser se font arrêter.
Pour notre part, la nôtre est blanche, mon amant est un vrai pro, je lui place la main sur sa cuisse.
- Dis-moi, tu regrettes dêtre devenue ma maîtresse ?
- Tu as de la chance que lheure avance, je marrêterais bien dans un chemin creux.
Le soir, mon alibi, est à lheure, il membrasse, je suis aux anges.
Même si jaurais aimé que la chaude du cul ait deux amants d'égales intensités.
Trois jours plus tard, il est neuf heures quand je rejoins mon amant.
Je mets un jean et un blouson quil me fournit, il a ouvert une armoire et a une vraie garde robe.
- Dans mon métier, il faut toujours avoir une longueur davance, en route direction Marseille.
- Go.
Banque, bijouterie, agent de change, je suis folle, mais que cest bon
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